mercredi 15 décembre 2010

Les acquis du féminisme ou la débilité féminine dans toute sa splendeur

Ouverture du magasin H&M à Toulouse



2 commentaires:

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  2. Héhéhé ! Le terme social traître prend ici tout son sens... un sens terriblement féminin.

    A ce point là c'est édifiant !

    Ah les babioles des marchands du temple !!! Que serait une femelle sans ses multiples babioles bien "à elle" qui ne lui servent à peu près à rien mais qu'elle collectionne tout de même inlassablement pour se rassurer, se sentir belle, avoir le sentiment d'une acceptation futile et peu engageante à quelque chose d'incertain mais de lénifiant tout de même, pour se sentir juste un petit peu mieux que la voisine, la copine, la soeur ou la belle-soeur, ou alors pour se sentir terriblement sexy, pour se plaire à elle-même, pour flatter son ego dans les moments de déprimes ?

    Comment vivre sans "acheter" lorsque l'on est une femme ? Une femme moderne et "dans le coup" qui plus est ?

    Là est LA question lancinante de la féminité mercantile postmoderne.

    CA MERITERAIT DES THESES !!!!

    Merci pour cette vidéos qui est assez explicite quant au pouvoir de sédition des femmes face au consumérisme organisé... j'ai passé un franc moment de rigolade et cela fait du bien par les temps qui courent... et ils courent visiblement de plus en plus vite... au rythme trépidant de la connerie humaine dans sa plus parfaite splendeur qui est aussi notre déclin collectif !

    BRAVO !

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